Paul de MONTGOLFIER

Son parcours vers l’étude Simon

J’ai 56 ans et suis père de deux enfants. Né dans le notariat, je suis devenu notaire associé à 30 ans dans une petite ville de la Vallée du Rhône. Puis j’ai quitté la profession pour vivre à l’étranger entre 2003 et 2016. J’ai alors créé au Vanuatu un cabinet de conseils pour aider et accueillir les investisseurs dans ce petit pays en voie de développement. Et je me suis régalé ! Des raisons familiales m’ont ramené au notariat français. J’ai donc rejoint l’étude en 2016 et j’y suis associé depuis 2019.
En parallèle de mon métier, j’ai toujours mené des activités associatives ou d’engagement citoyen. Pendant une dizaine d’années je me suis pleinement investi dans l’association AIDES, en tant que président de l’antenne lyonnaise puis en tant que trésorier national.

SON REGARD SUR LE NOTARIAT

Son regard sur le notariat

Amené dans le métier par atavisme familial, j’y ai tout de suite retrouvé des valeurs qui me sont importantes : le sens de l’autre et du service. Le notariat repose sur les relations humaines et elles doivent être guidées par l’envie de connaitre, comprendre et servir les clients.

Notre métier est en pleine mutation technologique mais aussi sectorielle. Les tâches confiées au notaire en sa qualité d’officier ministériel s’intensifient considérablement et la pression concurrentielle se fait plus forte avec l’augmentation du nombre de notaires et la création de réseaux de notaires en France. Mais l’âme de la profession, qui repose sur la sécurité, le conseil et le service, reste inchangée.

Je trouve particulièrement stimulants les dossiers qui sortent de l’ordinaire, un peu plus complexes. Et je me retrouve tout à fait dans dimension médiation du métier : apaiser de potentiels conflits, gérer avec tact des sujets sensibles… Dans notre étude, nous mettons clairement la priorité sur le sens de l’écoute, la disponibilité et la gentillesse. Des valeurs simples, mais primordiales !